La prise en charge de la maladie ne s’arrête pas au traitement.

Il est essentiel de prendre également en compte les conséquences de la maladie ou des traitements : douleurs, troubles alimentaires, problèmes sociaux, psychologiques.

Cette approche globale est déterminante pour la qualité de vie de la personne malade.

C’est ici qu’interviennent les soins de support, soins complémentaires mais au combien essentiel, parmi lesquels la réflexologie a toute sa place.

Formation réflexologie spécifique en oncologie –

Septembre 2020 Pascale CHENOUN – Tours

La réflexologie ne se substitue pas à la médecine conventionnelle.

Le réflexologue ne peut pas faire un diagnostic, modifier un traitement ou participer à une décision thérapeutique.

Conformément à la loi, la pratique de la réflexologie ne peut être en aucun cas assimilée à des soins médicaux ou de kinésithérapie, mais à une technique de bien être par la relaxation physique et la détente libératrice de stress. (Loi du 30.04.1946, décret 60669 de l’article l.489 et de l’arrêté du 8.10.1996.)

La prise en charge de la maladie ne s’arrête pas au traitement. 

Il est essentiel de prendre également en compte les conséquences de la maladie ou des traitements : douleurs, troubles alimentaires, problèmes sociaux, psychologiques.

Cette approche globale est déterminante pour la qualité de vie de la personne malade.

C’est ici qu’interviennent les soins de support, soins complémentaires mais au combien essentiel, parmi lesquels la réflexologie a toute sa place.

Depuis les années 90, on parle de soins de support pour désigner l’ensemble des soins et soutiens qui permettent aux malades de mieux supporter les conséquences de la maladie, en complément des traitements destinés à combattre la maladie.

Ils visent à garantir au malade la meilleure qualité de vie possible et à faciliter son quotidien en prenant en charge les effets secondaires des traitements ainsi que la douleur associée à la maladie.

La réflexologie en tant que soin de support et de bien-être pour améliorer le quotidien : Force mentale, énergie, dynamisme.

C’est un complément à l’accompagnement médical avec pour objectif commun d’amener vers un mieux-être : Un allié pour mieux vivre la maladie pendant et après, dès la phase de diagnostic, pour le patient et en soutien aux proches (conjoints, enfants et accompagnants).

La réflexologie est un excellent moyen de libérer les tensions émotionnelles, d’avoir un contact privilégié avec son corps et de soulager certaines douleurs physiques tout en renforçant le système immunitaire.
  • La réflexologie peut intervenir dès l’annonce du diagnostic pour limiter, notamment, le stress et les tensions dues à ce choc émotionnel .
  • Elle accompagne lors des traitements pour aider à une meilleure assimilation, accroître leur efficacité et favoriser l’élimination des toxines
  • Elle favorise l’atténuation des effets secondaires de la chimiothérapie : fatigue, troubles du sommeil, nausées, troubles digestifs, dysfonctionnements du transit, douleurs musculaires…
  • Contribue à une meilleure résistance au stress, à l’anxiété  (tenir l’angoisse à distance, apaiser colère ou tristesse, mieux appréhender la situation, se détendre, se poser et souffler).
Pour les proches : Parce que l’accompagnement nécessite des ressources physiques et émotionnelles, la réflexologie pour :
  • diminuer stress et anxiété
  • partager vos angoisses et vos émotions
  • retrouver un équilibre physique et émotionnel 
  • mieux appréhender la situation.
Cabinet de réflexologie Vitré – Marie Gautier – Réflexologue certifiée

Formation réflexologie spécifique en oncologie –

Septembre 2020 Pascale CHENOUN – Tours

La réflexologie ne se substitue pas à la médecine conventionnelle.

Le réflexologue ne peut pas faire un diagnostic, modifier un traitement ou participer à une décision thérapeutique.

Conformément à la loi, la pratique de la réflexologie ne peut être en aucun cas assimilée à des soins médicaux ou de kinésithérapie, mais à une technique de bien être par la relaxation physique et la détente libératrice de stress. (Loi du 30.04.1946, décret 60669 de l’article l.489 et de l’arrêté du 8.10.1996.)